Les plus beaux culs de ladyboys de la planète

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Jeu 28 jun 2012 7 commentaires
Alors là oui je suis TRÈS volontaire pour venir le caresser, le lécher et le sucer bien à fond pour lui faire cracher son venin au fond de ma gorge.
Heero - le 28/06/2012 à 17h54
un zob à consommer sans modération !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
lailatvx - le 09/08/2012 à 06h36
je suis un homme machos et
j'ai la moitié de la longueur de son sexe et moins large
ca calme des p'tit mec comme moi
des petites bites tout simplement
laurent - le 24/08/2012 à 21h11
cette shemale s'appelle Mariana Cordoba
lailatvx - le 25/08/2012 à 06h18
voici son site officiel:

http://tsmarianacordoba.com/
lailatvx - le 25/08/2012 à 06h20
sexuellement magnifique quelle queue !
demain j'enfile une robe
laurent - le 15/09/2012 à 23h17
J’avais seize ans quand j’ai connu le plaisir anal. Cette année là, mon cousin Ahmed était venu passer ses vacances chez nous. Tous les deux ans, il débarquait d’Europe. Il cumulait les congés pour un séjour plus long.
Par manque de place dans la maison, j’ai du partager ma chambre et mon lit avec ce cousin plus âgé que moi. Il était sympa et nous faisions des promenades à vélos et des parties de pêche dans le ruisseau tout proche.
Quelle ne fut pas ma surprise quand un soir que nous avions éteint la lumière pour dormir, mon cousin me prit la main et la posa sur son zob en érection. J’étais gêné et ne savais quoi lui dire. Puis, il m’a demandé de le caresser.
- Caresse moi.
- -Mais je ne sais pas.
- Tu t’es jamais branlé ?
- Si, mais...
J’ai retiré ma main et me suis retourné.
- Dors, lui dis-je
- J’ai envie de toi depuis mon arrivée. Tu es une fille, toi. Tu n’as pas de poils, ni aux jambes, ni à la figure, ni au bras.
- Ahmed, calme-toi et dors !
Mais au lieu de se tourner, le voilà qui se colle contre moi et je sens son sexe dur dans mes reins.
- Ahmed, sois gentil, qu’est-ce qui te prend ?
- Tes jambes, tes fesses me font bander. Ta bouche aussi. Est-ce qu’on peut avoir des lèvres aussi rouges que les tiennes.
C’est vrai que mes lèvres étaient colorées.
Il commence à glisses sa main dans mon dos, mes fesses, ma cuisse, passe son bras par dessus ma hanche et saisit mon sexe.
- Tu bandes ma cochonne. T’as envie, hein ! Tu ne réponds pas mais je sais que tu voudrais un baiser, non ?
- Non, j’ai sommeil.
Le voilà qui fait glisser petit à petit mon caleçon.
- Enlève ça, tu ne peux pas dormir nu ?

Et je le laisse faire et même, je me soulève légèrement pour qu’il enlève cet objet inutile à vrai dire. Me voilà nu comme lui à sa merci et je sais bien à partir de cet instant, je vais me laisser faire et me donner à lui comme une femme amoureuse.
Il passe son bras sous mon cou et m’attire vers lui. Je me retrouve face à un homme qui me désire. C’est à ce moment là que je me suis laissé faire car j’éprouvais une vraie pulsion charnelle. Je me suis senti femme subitement et n’ai opposé aucune résistance quand sa bouche est venue se coller à mes lèvres. Sa langue cherchait la mienne. J’ai perdu pied et ma main a saisi sa queue que j’ai aussitôt caressée. Nos baisers s’enchaînaient, ses bras me serraient fort contre lui, je lui appartenais.
Il a repoussé le drap puis il est venu au-dessus de moi :
- On va faire un 69
- C’était nouveau pour moi.
- Ouvre la bouche.
Il m’a introduit sa verge.
- Suce-moi comme si ma queue était un esquimau. Suce, lèche aspire. Moi, je vais lécher ta chatte.
Je l’ai sucé du mieux que je pouvais tandis que sa langue léchait mon petit trou. Il m’a rentré un doigt, puis deux, puis trois.
Ça m’a fait drôle de le sentir fouiller mon intimité.
- Viens, lève les jambes en l’air. Je veux te baiser.
Il est venu sur moi, j‘ai posé mes mollets sur ses épaules et il a commencé à vouloir me pénétrer. Mais son gland glissait.
- Plus haut. Encore. Là, vas-y, enfonce-toi.
J’ai senti la tête de la queue m’ouvrir l’anus. Puis son membre dur a continué à forcer le passage. J’ai serré les dents sous la douleur et comme j’avais envie de crier, il a enfoncé sa langue dans ma bouche pour stopper mon réflexe de panique.
- Doucement, chéri, j’ai mal.
- T’es une femme ou pas ?
- Oui.
- Alors, laisse toi prendre comme une vraie pucelle.
Il s’est retiré quelques secondes avant de remettre çà. Là, sa queue toute entière s’est fichée dans mon cul.
Il a commencé un va et vient dans mon rectum, douloureux au début, puis le plaisir a suivi. J’ai failli là encore hurler de bonheur.
Il m’a monté pendant quelques minutes puis il s’est raidi, m’a embrassé et j’ai senti quelque chose de chaud dans mes entrailles.
- Chérie, j’ai joui. Tout mon foutre est en toi. Vite, suce le sperme et nettoie mon zob.
J’ai pris son gros membre en bouche, je l’ai sucé, c’était bon. Ma première expérience sexuelle était positive. Même sa semence avait un goût agréable. Puis j’ai nettoyé ce pénis qui m’avait enculé et donné tant de plaisir. Je me suis levé pour aller aux toilettes, mon cul dégoulinait du jus de mon cousin adoré.
J’étais heureux même plus: heureuse.
lailatvx - le 16/09/2012 à 03h33