Mercredi 30 octobre 3 30 /10 /Oct 15:48
Par GAZ - Publié dans : vidéos - Communauté : blog sexe des amis
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Je le veux mûr et dur
Depuis le lycée, j'ai toujours fantasmé sur mes profs, surtout ceux qui avaient dans la cinquantaine. Me donner à un homme mûr bien viril, c'était l'expérience sexuelle la plus extrême que je pouvais imaginer. Mais pendant plusieurs années, je n'ai jamais pensé à le faire pour de vrai. Ça m'arrivait que des hommes mûrs me matent ici et là, mais même si ça m'excitait, j'avais trop peur et trop honte.
Et c'est justement la peur et la honte qui rendaient l'envie plus pressante. Au moins jusqu'à un certain point, plus on transgresse les limites, plus la jouissance est intense. Mais je n'aurais jamais supporté qu'on me voie avec un homme qui aurait pu être mon père, même dans un bar ou un sauna.
De même, si j'ai déjà eu pas mal de mecs, j'ai toujours trouvé que ça manquait un peu de sensations fortes. J'ai souvent eu envie me faire prendre bestialement comme dans un film X, de me faire totalement subjuguer par un homme. Mais j'aurais eu honte que mes partenaires ou mes copains le sachent et qu'ils me trouvent glauque. Alors me faire dominer sexuellement par un homme mûr est longtemps resté mon obsession secrète.

Jusqu'au jour où sur le net, un homme me branche, correspondant exactement à mon fantasme maudit. Le pseudo est en lui-même tout un programme : "Mûr et dur". Le type dit avoir 55 ans, être costaud, poilu et dégarni et rechercher un minet soumis pour baise hard. Je ne sais pas si c'était un mytho, j'ai un peu peur de tomber sur un tordu, mais la curiosité me taraude. Et à ce moment-là, je me dis qu'il ne faut pas laisser passer cette chance. Il me convoque à un rendez-vous vers 22h.
La place illuminée est magnifique le soir, mais il n'y a pas grand monde, alors je n'ai pas de mal à le reconnaître. Il correspond à la description qu'il a donnée. Mais quand je le vois, il me fait peur. Il est vêtu de sombre et passe devant moi, l'air sévère. L'idée d'un contact physique intime avec un homme de cet âge, en plus aussi peu avenant, me paraît folle, irréelle, mais je suis comme hypnotisé. J'ai une boule au ventre. Il tourne plusieurs fois autour de moi comme une bête de proie et doit me trouver à son goût car il finit par s'arrêter et me dire "Par ici".
Je le suis dans un élégant immeuble ancien dont l'entrée donne sur une ruelle voisine. Nous prenons l'ascenseur en silence, j'ose à peine le regarder. Puis il me fait entrer dans un appartement pratiquement vide. Pas de meubles, juste de la moquette, quelques chaises et une armoire avec un grand miroir. Il y aussi une lampe sur pied qu'il allume. Elle éclaire mal, mais on voit très bien avec l'éclairage de la place, les rideaux et les volets n'étant pas fermés.
Il ne manquait plus que ça. S'envoyer en l'air devant les fenêtres sans même tirer les rideaux, alors qu'on pourrait presque nous distinguer de dehors dans la pénombre, ça m'exciterait sûrement en temps normal. Mais là, me faire dominer sexuellement par un type patibulaire qui a plus du double de mon âge, dans un appartement abandonné, ça me fait flipper. Il ne me laisse guère le temps de réfléchir. À peine entrés, une fois nos manteaux accrochés, il m'ordonne aussitôt d'un ton sévère :
— Déshabille-toi. Garde juste ton slip et tes chaussettes, et mets-toi à genoux, les mains sur la tête.
Je m’exécute, la gorge serrée, pendant qu'il me regarde, inflexible, les sourcils froncés. En quelques instants, je suis nu à peu de chose près, pendant que lui est resté tout habillé. Je suis en position de totale soumission face à ce monsieur imposant. Ses grosses mains se posent sur moi et me palpent, puis il attrape mes tétons entre ses doigts et les pince. Ils se durcissent.
— Ouvre la bouche. Donne-moi de la salive !
Il humecte mes tétons dilatés avec ses doigts mouillés. C'est radical. J'ai envie de geindre, mais je me retiens. À genoux et les mains sur la nuque, je suis déjà complètement offert. Une chaleur envahit mon bas-ventre et l'appréhension du début se mue en une excitation violente qui monte inexorablement. Je sens mon slip enfler, mon anus se contracter et ma respiration s'accélérer. Debout devant moi, le monsieur en costume et cravate reste impassible, et me susurre des cochonneries sur un ton tranquille, promenant négligemment un doigt dans ma bouche.
— T'as tes petits seins qui bandent… Tu vas faire la salope, hein? Tu vas faire tout ce que je te dis?
Il m'agrippe la tête et la plaque sur son entrejambe. Je sens son sexe gonfler au travers du pantalon.
— Allez, sers-toi un peu de tes mains. Tâte-moi le paquet. Dégrafe ma ceinture et descends ma braguette. Fais-moi bander bien dur !
D'une main, il me maintient la tête et de l'autre il continue de me titiller les tétons. Je m'apprête à défaire mon paquet cadeau. Le bruit de la boucle, le bref bourdonnement de la braguette me donne l'impression d'ouvrir la porte de l'enfer. J'avance mes mains hésitantes dans la tiédeur moite de son entrejambe. Elles devinent clairement les contours de sa queue déjà bien raide dans son slibard.
— Fourre tes mains dans mon slip et malaxe-moi les fesses !
Je m'exécute, assez intimidé d'empoigner les fesses d'un monsieur d'âge mûr que je ne connais que depuis un quart d'heure. Si on peut appeler ça connaître… Je fais glisser son slip vers le bas, découvrant une bite énorme qui me bondit à la gueule. Il la frappe contre mes joues avec un bruit mat. Il bande comme un taureau. Son regard est de plus en plus menaçant. Mais je ne me sens plus en danger. Je sais ce qui m'attend : du sexe bien hard, du vrai. C'était ce que je voulais. Petit à Petit, il se met à parler plus fort et ses exhortations sont de plus en plus crues.
— Elle te plait ? Renifle-la. Ça sent bon la grosse bite! C'est de la bonne, ça, hein? Allez, prends-la dans tes mains! Dis lui bonjour à ma queue! Tu sais que tu vas pas tarder à te la prendre dans la gueule, hein, tu le sais, ça?

C'est sûr, ça a l'air bien parti pour. Je frotte mon visage contre cette colonne de chair ferme et j'en hume le parfum. Ça fleure bon l'odeur de mâle, ça sent fort comme un fromage bien fait. J'en prends une bonne bouffée tout en lui soupesant les bourses. Il me fourre le nez dans son entrecuisse qu'il me fait lécher des deux côtés. La chair y parait d'autant plus fine que sa peau est épaisse. Une goutte de sperme lui perle déjà au bout du gland, et il gémit de sa voix de basse.
— Oh oui… Caresse-moi les couilles. C'est ça, passe bien tes doigts dans mes poils. Moi, je vais me mettre à l'aise...
Il retire sa cravate, dégrafe ses boutons de manchette, puis défait un à un les boutons de sa chemise. Dessous, il porte un marcel qui laisse apparaître son gros ventre et son torse poilu. Il se déchausse, enlève son pantalon, puis baisse son slip à mi-cuisses, et me présente impérieusement sa trique, tout en gardant aux pieds ses longues chaussettes noires à élastique. Ça m'excite grave.
Je m'avance pour engloutir sa pine massive brandie comme un sceptre, mais il me retient rudement de ses grosses poignes, en me tirant les cheveux vers l'arrière, tout en me giflant avec sa bite pour punir mon impatience.
— Non mais ! Tu la suceras quand je te le dirai. On a tout notre temps, et pour pomper, ça, crois-moi, tu vas pomper. Pour l'instant, tu va commencer par la lécher bien comme il faut, de bas en haut. Ouvre la bouche et fais claquer ta langue, comme une bonne salope. C'est bien. Maintenant, tu prends ma queue dans tes mains et tu la fais coulisser entre tes doigts. Passe bien ta langue sur mes couilles. Voilà, comme ça, plus haut, jusqu'à la base du gland. Allez, astique-la, c'est bon. Tu sens comme elle est grosse ? Tu sens comme elle est dure ?
Oui, je sens comme elle est chaude et épaisse. Et ses conseils d'aîné sont sages : je lèche avec application le dessous de sa bite et j'en ai déjà le goût corsé en bouche, en guise d'apéritif. Je lèche de haut en bas comme une sucette et darde ma langue.
— Mais c'est que tu me files la trique! Ah, putain, je bande ! Déculotte-toi, pour la peine. Ta petite queue est bien droite… Tourne-toi, écarte tes fesses, et fais-moi voir ton petit trou. Ondule bien du cul et gémis, excite-moi. Toi, je sens que tu vas passer à la turlutte.
Ses ordres viennent à point, je commençais à me sentir très serré dans mon slip et je m'en libère pendant que lui aussi fait valser le sien. Adieu pudeur, que ça fait du bien de pouvoir enfin écarter les cuisses et bander sans entraves ! Ce vieux singe me met en rut, je me mets à quatre pattes en miaulant comme une chatte en chaleur. Je m'en fous maintenant qu'il ait cinquante-cinq ans, qu'il soit moche, bedonnant, presque chauve et couvert de poils ; et même pire, j'adore ça ! Tout ce qui compte, c'est de me gorger de sa virilité brute, de sentir sa pine juteuse fièrement dressée remplir tour à tour à ras bords mes deux orifices.
— Tu la veux ma grosse quéquette ? T'as envie d'y goûter ? Montre-moi comme t'en meurs d'envie. Demande la bite ! Tu la veux, hein?
- Oh oui, oui, je veux la bite!
-Eh ben tu l'auras bien méritée. Tiens, ouvre grand la bouche et regarde-moi bien dans les yeux. Tu vas me tailler une pipe dans les règles de l'art. On va voir ce que tu sais faire. Allez maintenant, à la suce !
D'une main il m'empoigne par les cheveux et de l'autre il introduit lentement son gland entre mes lèvres, puis la hampe, jusqu'à ce que je sente les poils de ses couilles me chatouiller le menton. Puis il retire lentement sa queue, pour me la rentrer à nouveau un peu plus profond en me tripotant la pointe des seins. J'avale docilement et goulûment son bâton de joie et me délecte d
commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 31/10/2013 à 04h25
C'est sur qu'elles sont superbes ces queues. J'aimerai beaucoup en avoir quelques unes en bouche et les sucer jusqu'à les faire gicler.
commentaire n° :2 posté par : Heero le: 31/10/2013 à 06h03

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