Lundi 28 octobre 1 28 /10 /Oct 16:06
Par GAZ - Publié dans : vidéos - Communauté : LADYBOYS
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Travesti Lucie

L’esprit embrumé par la dizaine de verres d’alcool déjà ingurgités, je ne vis pas dans quelle boîte mes pas me menèrent.
Le portier me regarda bizarrement et je mis ça sur le compte de mon attitude à la limite du tangage d’un navire en pleine tempête. Je lui filai un billet de 20 euros et il me laissa entrer avec un petit sourire, auquel j’aurais du faire plus attention.
La pénombre, la musique et la fumée aggravèrent le brouillard de mon cerveau. Je pus percevoir un grand bar rond avec derrière une scène sur laquelle se déhanchaient plusieurs filles à moitié nues et tout autour de la salle, de petites alcôves encore plus dans la pénombre.
J’en vis une de vide et m’installai ou plutôt m’affalai sur la banquette qui faisait le tour de la table. À peine assis, une serveuse mi-homme, mi-femme, je ne sais plus exactement, vint demander ce que je voulais boire.
- Whisky coca ! Ma belle !
- Ok !
Deux minutes plus tard, un verre et une bouteille de coca trônaient devant moi. Un billet de cinquante euros plus tard et je sirotais mon verre, m’enfonçant un peu plus dans un état second.
Je ne pensais même plus à ma situation, 28 ans, célibataire, sans petite amie et désabusé par la vie de « métro-boulot-dodo » Je constatai que les filles qui se déhanchaient sur la scène avaient de bien gros paquets entre leurs jambes mais, la fumée et le brouillard dans mes yeux, m’empêchaient de bien distinguer.
- Tu viens danser ?
- Que… Quoi ? Criais-je pour surpasser la musique.
- Fais-moi danser !
J’ouvris un œil et à travers la brume et la fumée, je vis une fille assez jolie, malgré le côté masculin de sa coiffure. Elle attrapa ma main et me tira hors de la table.
La piste était pleine de danseurs qui se frottaient les uns aux autres par couple. Dans mon brouillard du à trop d’alcool, je constatai avec amusement que les filles qui dansaient étaient outrageusement maquillées et ressemblaient à des « travelos »
À peine sur la piste, la fille me serra contre elle et m’entraîna dans un slow langoureux. Plus petite que moi, d’une tête, son ventre épousait parfaitement mon entrejambe auquel elle se frottait. Cela me fit bander malgré l’alcool ingurgité.
Plus je bandais, plus elle se frottait à moi. Je sentis une main sur mes fesses et, profitant d’une bousculade par un autre couple qui dansait, la fille mit sa main sur mon sexe par-dessus le pantalon.
- Hum ! C’est pour moi…ça ? Cria-t-elle en me regardant avec des yeux gourmands.
Je crois que c’est à ce moment précis que, ma minable vie, bascula. Je me baissai légèrement et lui roulai un patin digne de ce nom. Le mélange de nos salives et les caresses sur mon sexe me met dans un état d’excitation que je n’avais plus atteint depuis des mois.
L’opulente poitrine de la fille s’écrasant sur le haut de mon ventre me poussa à vouloir les caresser. Une nouvelle fois, une main me caressa les fesses et je fus certain que ce n’était pas la fille car, une de ses mains caressait mon sexe et l’autre était dans ma propre main.
- Vient ! Me cria-t-elle en me tirant hors de la piste de danse.
Nous rejoignîmes l’alcôve où mon whisky coca m’attendait. Elle me poussa dans le coin le plus sombre de l’alcôve et entreprit de sortir mon sexe. Je l’ai repoussai mollement, peur d’être foutu dehors pour attentat à la pudeur mais, la fille s’avéra d’une force peu commune pour une fille.
En moins de temps qu'il faut pour l’écrire, la bouche de la fille engloutit mon pénis tendu et prêt à donner une dose de sperme retenue depuis des semaines dans mes testicules.
Elle savait y faire, la garce, en quelques va et vient et sucions de mon gland, elle arriva à un non-retour qui me délivra d’une dose de sperme trop longtemps retenue dans mes couilles.
Je perdis le sens du présent et me laissai vider par cette fille comme si le temps s’était arrêté. Jamais, aussi loin de ma mémoire, je n’avais joui avec autant de force et de volupté.
Je caressais la tête de la fille, toujours aspirant mon sexe au fond de sa gorge. Elle se redressa brusquement, entoura ses bras autour de mon cou et me roula une pelle baveuse, sa bouche remplie de mon propre sperme.
J’étais presque couché sur la banquette, la fille au-dessus de moi, me retenant par le dossier, pour ne pas être complètement couché sur la banquette.
C’est à ce moment que mon ventre sous l’entrejambe de la fille sentit une protubérance dure comme du bois. Pendant que la fille m’embrassait comme si sa vie en dépendait, elle frottait son bassin sur mon ventre et mon sexe commençant à débander.
Dans le brouillard d’alcool et de post-jouissance, l’idée que c’était un homme qui était sur moi me vint subitement à l’esprit.
Je lâchai le dossier et glissai ma main entre mon ventre et son entrejambe. Comme si elle attendait mon geste, elle souleva légèrement son bassin permettant à ma main de sentir cette protubérance et de constater qu’un sexe de bonne taille se trouvait dans ma main.
- Hum ! Ouiiiii ! Branle-moi chéri ! Dit-elle en me lâchant la bouche après y avoir laissé couler toute ma jouissance dans ma propre bouche.
Elle poussa son bassin vers moi, emprisonnant ma main sur son sexe. Complètement déboussolé et toujours en état d’excitation intense, je pris conscience que j’avais un sexe d’homme dans ma main et qu’il était nettement plus grand que le mien.
Sans me laisser le temps de réagir, la fille recolla ses lèvres sur les miennes et nos langues recommencèrent la bataille de Waterloo.
Cette fois, j’étais complètement couché sur la banquette, la fille, ou plutôt le garçon sur moi, se masturbait dans ma main en faisant monter et descendre son corps sur le mien.
Je n’avais plus la force ou l’envie de le repousser et je le laissai faire. Sa langue et sa salive envahissaient à nouveau ma bouche et dans un sursaut de lucidité, je me redressai, le repoussai sans brusquerie et attrapai mon verre que je vidai d’un trait.
Ce fut la dernière chose que je me rappelai de cette soirée.
Lorsque j’ouvris péniblement les yeux, je distinguai un décor familier, celui de ma chambre. J’habite un petit appartement de trois pièces, au rez-de-chaussée d’un grand immeuble. Ma chambre étant la pièce la plus grande de l’appartement si on estime qu’un salon/salle à manger de 3m sur 4m est une grande pièce.
La première sensation que je perçus sur mon corps est un mal latent de mon derrière et une impression d’humidité tenace de mon anus. J’étais nu dans le lit et allant avec mes doigts toucher cette humidité entre mes fesses pour savoir de quoi pouvait-il s’agir.
Je ressortis mes doigts gluants de sperme, c’est évidemment l’odeur qui me confirma cela et la douleur de mon anus qui ressemblait à une brûlure se rappela à mon cerveau. De plus, dans ma bouche, un goût prononcé et gluant me fit vaciller quelques millisecondes, m’informant ainsi que du sperme tapissait mon palais.
Je sortis du lit en entendant chantonner une voix féminine depuis la kitchenette me servant de cuisine.
Une violente douleur à la tête me fit tituber et me rappela sans une hésitation que l’abus d’alcool est toujours puni par une migraine le lendemain.
C’est donc en me tenant le front, d’une main et mes fesses de l’autre que je pénétrai dans ma cuisine. Ce que je vis alors me fit commencer une érection impromptue. Une magnifique gonzesse, me tournant le dos, était devant l’évier et semblait faire une petite vaisselle.
Le corps impeccable qui se trouvait devant moi ne pouvait qu’appartenir à une fille. Des hanches magnifiques, une taille de guêpe, de longues jambes terminées par des pieds minuscules. Seules les épaules un peu trop carrées semblaient dénoter dans la plastique de ce corps. La tête surmontée d’une chevelure courte et blond cendré accentuait la beauté du corps. Vêtue d’une petite culotte fortement échancrée, elle donnait envie de la violer sur place.
- Qui… Qui…êtes-vous ? Balbutiais-je le sexe presque à l’horizontale.
- Oh !... Heu…. Bonjour ! Je m’appelle Lucie ! Dit-elle en se retournant et d’une voix cristalline.
Le devant de la fille valait autant que le dos. La poitrine généreuse sans être trop grosse, visiblement bien proportionnée par rapport au corps, un ventre plat, des cuisses lisses et légèrement musclées serrées les unes contre les autres, des genoux magnifiques et des chevilles tellement fines qu’on aurait pu croire qu’elles allaient se briser au moindre choc.
La tête qui surmontait les épaules, décidément trop carrée, était fine et douce. Les yeux légèrement en amande, des sourcils et cils fortement dessinés, un nez aquilin, une bouche sensuelle avec des lèvres suffisamment prononcées pour avoir envie de les embrasser, achevèrent mon érection.
Le sourire, légèrement moqueur de la fille regardant mon sexe raide, fut suivi d’une petite grimace lorsqu’elle croisa mon regard.
- Tu… Tu vas me violer ?
- Mais… Mais… Tu… Vous êtes une fille ?
- Une fille !... Un garçon !... C’est important pour toi ?
- Mais…
- Tiens ! Bois ça et assied-toi ! Conclut-elle.
Je me laissai tomber sur la seule chaise de la cuisine mais me relevai aussitôt sous la douleur de mon anus.
- Oh oui ! Mon pauvre chéri ! Tu as bien souffert cette nuit !
- Mais… Mais comment ! Dis-je en regardant le triangle de sa petite culotte absolument plat.
Mon cerveau essayait de se rappeler les évènements de la nuit mais c’
commentaire n° :1 posté par : lailatvx le: 29/10/2013 à 05h22

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